Péché de gourmandise ...
Rien que de prononcer le mot chocolat, j'en ai l'eau à la bouche ! Le chocolat est un mythe, un plaisir, un pêché peut-être, une addiction je n'en suis pas certaine... Reste que je lui porte un amour inconditionnel au point de lui offrir en sacrifice quelques rondeurs.
Chocolat chaud et mousseux (fait avec des granulés de chocolat WEISS fabrication régionale à Saint Étienne) , gâteau fondant subliment à l'envie mes moments de cocooning ou de hiving .
Dans ma cuisine c'est un ingrédient essentiel à mes recettes, mais aussi à sa décoration.
J'aime chiner boîtes en fer, tôles publicitaires, chocolatières qui racontent l'histoire du Chocolat.
LA BELLE CHOCOLATIÈRE 1743 -1745 de Liotard, Jean Étienne celui-ci choisi de peindre la jeune fille qui lui apportait chaque matin son cacao.
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Ma recette préférée …
Le gâteau au chocolat fondant
Pour 6 à 8 personnes
5 minutes de préparation
22 minutes de cuisson
A préparer la veille si possible
200 gr de bon chocolat noir
200 gr de beurre
5 œufs
1 cuillerée à soupe de farine
230 gr de sucre
Faites chauffer le four à 190°.
Faites fondre ensemble, au micro-ondes ou au bain- marie,
Le chocolat et le beurre.
Ajouter le sucre et laissez refroidir un peu.
Incorporez un par un les œufs en remuant bien avec une cuillère
en bois après chaque nouvel œuf ajouté.
Enfin, ajoutez la farine et lissez bien le mélange.
Versez dans un moule (20 cm) et faites cuire pendant 22 minutes.
Le gâteau doit être encore légèrement tremblotant au milieu.
Sortez du four, démoulez rapidement et laissez refroidir.
TRUCS : j'ajoute à l'envie des noix concassées ou des morceaux très finement émincés de gingembre.
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Les accords du chocolat ... et des idées
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"Un simple bonbon au chocolat peut me détraquer les nerfs, sous l’excès de souvenirs qui viennent m’ébranler. Mon enfance ! Et mes dents qui mordent dans la pâte sombre et moelleuse mordent aussi et savourent à nouveau les humbles joies du gai compagnon que j’étais pour mes soldats de plomb, ou du cavalier s’accommodant parfaitement du roseau transformé, pour l’occasion, en cheval. Les larmes me montent aux yeux, et je mêle à ma guise la saveur du chocolat, le bonheur passé et mon enfance perdue, tout en m’abandonnant voluptueusement à la douceur de cette souffrance. Sa simplicité n’ôte rien de sa solennité à ce rituel de mon palais“.Le livre de l'intranquilité de Bernardo Soares.